La
montée en puissance des faits-divers encourage la reprise des
préjugés courants sur les habitants des territoires en difficulté,
qu'ils soient urbains ou ruraux. Devant ce phénomène, on ne peut
que s'interroger : Pourquoi les reportages de France 2, financés
en partie grâce à la redevance audiovisuelle, ne se distinguent
qu’à la marge des programmes des chaînes privées aux visées
commerciales comme TF1 ou M6 ? Dans un entretien accordé à La
Gazette des communes
Jérôme Berthaut, sociologue des médias, auteur de La
banlieue du 20h,
fait part de son analyse.
[Lire l'entretien]
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