Chers Trappistes,
Trappes est notre petite patrie et a besoin de nous pour fermer la parenthèse d'un mouvement d'ambition parisienne qui, dans le circonscription, n'a servit personne et même pas lui-même.
Notre vote, dimanche prochain, sera l'unique occasion de dire « non-merci, j'ai déjà donné » à ce mouvement dont les postures infécondes démontrent que son nom est déjà une promesse qui ne peut pas être tenue : « Génération.s ! »
A celles et à ceux qui en douteraient encore, je rappelle la situation inextricable dans laquelle ce mouvement nous met tous :
ou bien nous votons Othman Nasrou et il nous reproche de choisir le candidat de la droite ;
ou bien nous votons Guy Malandain et il nous reproche de choisir le candidat de Macron ;
ou bien nous ne votons pour personne et il nous reproche de céder au dilemme qu'il a lui même énoncé : « combattre ou trahir ».
Ce dilemme de Guillotine, de mort, doit nous rappeler les mots que Guy Malandain a prononcé un jour :
« A tout problème de la vie entre les hommes, il y a toujours une réponse de guerre et une réponse de paix.
Il faut évidement choisir la réponse de paix, même si c'est la plus difficile. »
Dimanche prochain, le 28 juin, nous devons choisir la réponse la plus difficile, celle du large rassemblement, celle de l'union locale, celle d'Engagement Trappes Citoyens dont Othman Nasrou est la pierre angulaire et Mustapha Larbaoui la clef de voûte.
Nous devons faire ce choix parce que les fractures éducatives, sociales, économiques, culturelles, démocratiques de notre ville ont besoins de réponses fortes, de réponses solides.
Et ces réponses auront toutes leurs légitimités, leurs puissances, auprès de l’État, de la région, du département, de l’agglomération, si elle sont portées par une majorité municipale qui incarne les jours heureux de la démocratie française:
des droites républicaines et des gauches démocratiques rassemblées pour faire front, front républicain devant l'adversité.
Chers Trappistes, Trappes notre petite patrie ne vit pas en dehors du monde, en dehors du temps ; elle fait partie intégrante de la République Française et de son histoire.
Et « Sans la nostalgie et sans l'attente du lendemain, que serait la vie ? »
Bien à vous, bien à Trappes.
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