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mardi 29 septembre 2015

Jean-Paul Huchon : «L’alternance est sûrement une bonne chose à un moment donné, quoi qu’il arrive, où qu’on soit.»

Les élections régionales françaises 2015 auront lieu le 6 et 13 décembre. 
Ces élections sont le second scrutin de l'année, après les élections départementales du mois de mars, marquées par la victoire de la droite et une percée du Front national.
Les élections régionales ont lieu au suffrage universel direct et au scrutin proportionnel de liste à deux tours avec prime majoritaire. Peuvent se qualifier au second tour les listes ayant recueillis 10% des voix. Les listes ayant obtenu au moins 5% peuvent fusionner au second tour avec une liste qualifiée.
Au tour décisif, la liste arrivée en tête reçoit une prime de 25% des sièges alors que le reste des sièges est réparti entre toutes les listes ayant reçu au moins 5% des voix. La prime majoritaire permet ainsi à une liste arrivée en tête de disposer d'une majorité de sièges au conseil régional à partir d'environ 33% des voix.
Les sièges sont répartis entre les listes au niveau régional mais, au sein de chaque liste, les sièges sont attribués par section départementale.
Les candidatures seront officiellement déposées au plus tard le quatrième lundi qui précède le jour du scrutin, soit le 9 novembre 2015.

Cela va sans dire, devant ces élections je partage le sentiment de Jean-Paul Huchon. Pour l'actuel président (Ps) de la région Il-de-France, notre région « l'alternance est sûrement une bonne chose, à un moment donné, quoi qu'il arrive, où qu'on soit. »


lundi 7 septembre 2015

P'têt ben qu'oui, p'têt ben qu'non

En pleine mélancolie de septembre j'aurais mauvaise grâce d'envisager les élus de la majorité municipale sous l'angle de la météorologie. Cette science m'engagerait à expliquer que la pluie et le beau temps sont provoqués à l'assemblée communale, par des circulations cycloniques et anticycloniques venues d'ailleurs. De surcroît, la dépression qui traverse actuellement la majorité municipale ne proviendrait ni de Normandie, ni de Bretagne ; elle viendrait de la gestion des rythmes scolaire qui exaspère les parents et fatigue les enfants. 
L'exaspération des parents d’élèves s'exprimait avec virulence, fin juin, lors de la séance du conseil municipal. Nous, les élus de Trappes Citoyens, aussi exaspérés que les parents, quittions la séance du conseil. De leurs côtés, les partisans de l'ancien ministre de l’Éducation nationale, Benoît Hamon auraient-ils profité de la situation pour déstabiliser davantage le Maire de Trappes ? 
On murmure que le silence des affidés de l'ancien ministre, lors du conseil municipal de juin, se serait mué, hors séance, en cris vengeurs contre Jeanine Mary la fidèle première adjointe de Guy Malandain. Ah ! Fâcheuse nouvelle pour les cœurs de gauche qui apprennent que Benoît Hamon mènerait au sein de la majorité municipale des opérations sans lendemain ! Car envisager les choses ainsi oblige à conclure que le seul résultat obtenu par la nouvelle fronde de l'ancien ministre est un démenti public du maire ! 
A Trappes, il sait maintenant qui fait la pluie et le beau temps.